De nouveau le ciel constellé de fleurs
De nouveau le vent reprend son rythme
Les colombes sont pressenties
A l’aube.
Je vais de mon pas de février
Dans l’île rare où l’azur est plus bleu
Les bourgeons transpercent la solitude de l’arbre
Et le matin se jette en pleine mer.
Le corps est repris dans son essoufflement
Les violettes alignent leur désir frais dans les chemins
J’avais cessé de Voir depuis si longtemps.
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