Un oiseau noir en littérature
Un oiseau noir en littérature

 

 De nouveau le ciel constellé de fleurs

  De nouveau le vent reprend son rythme

Les colombes sont pressenties

    A l’aube.

  Je vais de mon pas de février

Dans l’île rare      où l’azur est plus bleu

Les bourgeons transpercent la solitude de l’arbre

Et le matin se jette en pleine mer.

Le corps est repris dans son essoufflement

 

 Les violettes alignent leur désir frais dans les chemins

   J’avais cessé de Voir depuis si longtemps.