Un oiseau noir en littérature
Un oiseau noir en littérature
Un oiseau noir en littérature

Après des mois où l’accomplissement de soi par l’activité s’est souvent vu réduit à quelques mouvements de gymnastique ou de yoga dans l’encadrement d’une porte, je vous propose de partir, enfin ! EN IMAGES. Voyage dans le temps et l’espace, ces affiches » retro qui firent la réclame de stations balnéaires à découvrir, sont des bouffées d’oxygène. Elles évoquent une « belle époque » où les préoccupations des français étaient de s’offrir un bain de nature.

Que dire de ces plongeuses qui dans un mouvement chorégraphié et parfaitement exécuté, nous invitent à les suivre dans une eau iodée et tout à fait fraîche. Elles impulsent à l’image une dynamique figée dans l’harmonie d’un seul et même corps tendu vers les délices de l’eau.

On peut préférer Cannes, tout aussi chic . Ces palaces avec vue sur mer imposent toutefois  la tenue adéquate pour être élégante par tous les temps: la fameuse petite robe noire!

 

Un oiseau noir en littérature

Dinard promet un climat égal ( !!! ) d’avril à octobre. Il ne reste plus, après un long trajet en train sur les chemins de fer français qu’ à profiter des bains de soleil qui semblent garantis et accorder sa disponibilité polie à celle des autres.

Les vacances ne sont ici pas celles de Monsieur Hulot. On prend ici de la hauteur. Du moins le croit-on, dans un entre-soi entretenu avec chic et un soupçon d’autodérision – être snob en sachant qu’on l’est est un paradoxe tout en finesse pour ne pas paraître ce qu’on est !

 

Mais je m’éloigne ici de mon objectif initial qui était et le reste, de vous inviter au voyage, à rêver de plages, de forêts de pin, et d’îles bretonnes fleuries au doux parfum de sel. La rêverie n’est pas rien lorsqu’elle fait faire « un pas de côté ». Ce n’est pas un pas très physique certes, mais quel plaisir de le proposer à votre imagination.